Pendant des années, j’ai utilisé des bombes d’air comprimé pour nettoyer mes PC, claviers et autres composants. Efficace mais pas toujours pratique, ni économique. Il y a un an, j’ai décidé de tester un souffleur électrique pour PC, sans vraiment y croire. Je n’ai plus jamais racheté une seule bombe depuis et voici pourquoi.
Une économie sur tout les tableau : financier et moins de déchet
Je suis informaticien à Nantes, et je nettoie facilement plus d’une centaine de PC par an. Pendant longtemps, j’utilisais exclusivement des bombes d’air comprimé. C’était devenu un réflexe : une pour les tours poussiéreuses, une autre pour les claviers, parfois deux dans la même journée. À force, l’addition grimpe vite. Sans m’en rendre compte, je dépensais près de 500 € par an rien que pour ça. Pour un consommable jetable, c’est clairement démesuré.
Le problème, c’est qu’on ne s’en rend pas compte tout de suite. On enchaîne les nettoyages, on veut bien faire… et on finit par vider les bombes à la chaîne. Entre la pression qui chute, les recoins inaccessibles et le gaz qui se met à geler, il fallait souvent en utiliser deux là où une aurait dû suffire. Et puis il y a l’autre face du problème : les déchets. Les bombes vides s’accumulaient dans l’atelier. Je les mettais de côté, mais au fond je savais que tout ça partait à la poubelle.
C’est là que j’ai décidé de chercher une alternative plus durable. Pas juste pour économiser quelques euros, mais pour sortir de ce cycle absurde du jetable. Le souffleur pour PC m’a semblé être une bonne piste. Un seul appareil, rechargeable, réutilisable et bien plus puissant que ce que j’imaginais. Et aujourd’hui, clairement, je ne reviendrais pas en arrière.
Le type de bombe d’air que j’utilisais avant de découvrir le souffleur pour PC
C’est typiquement le genre de bombe d’air que j’utilisais avant de passer au souffleur : la T’nB 400 mL, un classique. Elle faisait le job pour dépoussiérer un clavier ou souffler un peu dans une tour, mais la pression tombait vite dès qu’on enchaînait les nettoyages. Et si on avait le malheur de l’incliner un peu trop, elle crachait du froid ou devenait inutilisable pendant plusieurs minutes.
À force, c’est devenu plus frustrant qu’utile. Je me retrouvais à en racheter tout le temps, avec toujours cette impression de jeter de l’argent pour trois utilisations efficaces. C’est exactement ce modèle qui m’a fait dire : ok, stop, il me faut autre chose.
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Le changement : mon passage au souffleur électrique
J’en avais tout simplement marre de racheter des bombes d’air toutes les deux semaines. À force, ça devenait un abonnement déguisé… pour un résultat de plus en plus frustrant. Pression qui chute en plein nettoyage, givre qui sort au lieu de l’air, et toujours cette sensation de jeter 10 € à la poubelle après deux ou trois utilisations. J’ai donc décidé de tester une alternative plus durable : un souffleur électrique. J’ai pris un modèle autour de 50 €, histoire de voir sans trop investir. Et honnêtement, je ne m’attendais pas à ce que ça change autant les choses.
Le modèle que j’utilise depuis maintenant plus d’un an, c’est le souffleur WHATOOK 6000 mAh avec ses trois niveaux de puissance. Dès les premières minutes, j’ai senti la différence. Le souffle est constant, puissant et surtout stable. Fini les à-coups, fini le gaz liquide projeté sur les composants, fini les pauses forcées parce que la bombe s’est refroidie. Et ce que j’ai particulièrement apprécié, c’est de pouvoir adapter l’intensité selon ce que je nettoie : un coup fort pour les grilles d’aération, un souffle plus doux quand je m’approche d’un ventilateur ou des connectiques sensibles.
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Ce que j’ai préféré tout de suite, c’est cette liberté de mouvement. Plus besoin de surveiller l’inclinaison comme avec une bombe sous pression, plus besoin non plus de faire attention à la température ou à la pression résiduelle. Je branche, j’appuie, je souffle, c’est aussi simple que ça. Depuis ce jour, je n’ai plus jamais racheté une seule bombe d’air.
Une année plus tard : chiffres, bilan et retour terrain
Un an après l’avoir adopté, mon souffleur électrique n’a pas bougé. Il a nettoyé plus de 100 PC, tours poussiéreuses, PC portables de clients, claviers encrassés et il fonctionne toujours comme au premier jour. Aucune perte de puissance, la batterie est intacte, les plastiques n’ont pas bougé. Pour un appareil à 50 €, je m’attendais honnêtement à devoir le remplacer au bout de quelques mois. Finalement, il tient largement la route bien mieux que ce que j’aurais cru à ce prix-là.
Côté autonomie, rien à redire. La batterie tient environ une heure, mais dans les faits, je ne le fais jamais tourner en continu. Quelques secondes pour souffler un clavier, une minute pour dépoussiérer un ventirad… ça me suffit largement pour gérer plusieurs sessions de nettoyage dans la journée. Je l’utilise même pour autre chose que les PC : nettoyer l’intérieur de la voiture (aérateurs, tableau de bord), souffler les poils de chien coincés derrière un meuble, dépoussiérer un onduleur. C’est devenu un outil polyvalent, bien plus utile que je ne l’imaginais à la base.
Si je devais lui trouver un défaut, ce serait simplement d’oublier de le recharger de temps en temps. Mais franchement, c’est rare. Et surtout, les trois niveaux de souffle sont devenus essentiels dans ma routine : je passe d’un souffle puissant pour une tour très encrassée, à un mode doux dès que j’approche un ventilateur ou une connectique fragile. Aujourd’hui, ce petit souffleur a clairement changé ma façon de travailler. Plus propre, plus économique, plus pratique. Rentabilisé en moins de deux mois, il fait partie des rares achats pro que je referais les yeux fermés. Je ne reviendrai pas aux bombes d’air et je ne pense pas être le seul dans ce cas.
Quel souffleur pour PC choisir ? Voici le modèle le plus performant
Si vous cherchez une version encore plus puissante que le modèle que j’utilise, sachez qu’il existe une version améliorée chez la même marque, WHATOOK. Ce nouveau souffleur monte à 150 000 tours/minute, avec une batterie de 9000 mAh et trois vitesses, comme le précédent, mais en plus costaud. Il est aussi équipé d’une lumière LED intégrée, pratique quand on nettoie sous un bureau ou à l’intérieur d’une tour mal éclairée.
C’est clairement le modèle qu’il vous faut si vous voulez le top de la puissance pour des usages plus intensifs ou si vous nettoyez du matériel en série, comme moi. Même logique d’économie, même confort d’utilisation, mais avec une réserve d’énergie plus importante et un souffle encore plus nerveux. Si vous hésitez entre les deux, disons que celui-là, c’est le modèle ultra, pensé pour ceux qui veulent zéro compromis.
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À propos de l'auteur
Adrien Piron
